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Publié le 09/04/2021
Immobilier: les prix à Paris, quartier par quartier
LE FIGARO
L’immobilier à Paris conserve son attractivité, mais, cependant, investisseurs et acheteurs doivent bien réfléchir au quartier sur lequel ils jettent leur dévolu ; tous ne sont pas logés à la même enseigne.
Tout d’abord, nous allons aborder les quartiers du cœur parisien. Ces quartiers sont toujours très recherchés car ils sont chargés d’histoire ; en effet du premier au quatrième arrondissement les ventes ne reculent pas. Néanmoins c’est le bénéfice qui reste limité ; en effet les prix sont très élevés et n’augmentent que très peu au fil du temps, ce qui limite les possibilités d’investissement. Cependant ces quartiers restent dynamiques, les petites surfaces partent vite et au bon prix ; cependant lorsque l’on s’attaque à des biens de plus grande envergure, les ventes sont plus compliquées.
Autour du centre, du 5ème au 7ème arrondissement les offres se font plus nombreuses et les ventes suivent cette tendance. Les acheteurs sont plus déterminés et négocient au moins pour des biens avec des caractéristiques exceptionnelles ou plus simplement une vue dégagée et lumineuse. Par exemple, rue Monge un deux pièces de 24 m² a été vendu 345 000 euros. Le 6ème arrondissement est le quartier le plus cher de la capitale ; il séduit beaucoup par ses biens haut-de-gamme. Aussi, le 7ème arrondissement, s’adresse davantage à un public jeune, notamment à des familles. Il n’y a d’ailleurs pas assez d’offres par rapport à la demande.
Les arrondissements du 13ème au 15ème connaissent une plus grande difficulté concernant les ventes. Il n’y a toujours pas de difficulté à céder les petites surfaces, cependant concernant des biens plus vastes, ceux-ci vont mettre plus de temps à être vendus et sont l’objet de plus de négociations. La crise du coronavirus a atteint ces quartiers. Par exemple, les biens dans le 13ème arrondissement voient leur prix baisser. Au neuvième étage d’une tour, un deux-pièces de 36 m² a par exemple été cédé pour 330 000 euros, un prix assez bas pour la région parisienne.
Les arrondissements du 9ème au 12ème, subissent un phénomène différent. La croissance des prix se stabilise, l’intérêt est toujours présent mais les acheteurs sont plus exigeants. La crise du coronavirus a développé une envie de trouver un bien sans défaut, et certains prennent plus de temps avant de sauter le pas de l’achat. La négociation est de plus en plus fréquente par rapport aux années précédentes. Ainsi, dans ces quartiers, bien qu’elles soient fréquentes, les ventes prennent plus de temps.
Ce phénomène est également représenté dans les quartiers du 8ème, du 16ème et du 17ème arrondissement. En effet, le marché est complexe, et est ralenti par l’absence de la clientèle étrangère. Cependant, les fortunes françaises arrivent tout de même à soutenir le marché de l’immobilier dans ces arrondissements. Néanmoins, les ventes se font plus lentes, car ici aussi, les acheteurs prennent plus de temps pour trouver la perle rare.
Enfin, du 18ème au 20ème arrondissement, les biens dont le prix est trop élevé par rapport à l’état du marché ne se vendent pas. Il y a un souci d’équilibrage entre le marché actuel et les demandes des vendeurs, qui provoque une stagnation des prix mais également des ventes.
Pour consulter l’intégralité de l’article, cliquez ici.
Tout d’abord, nous allons aborder les quartiers du cœur parisien. Ces quartiers sont toujours très recherchés car ils sont chargés d’histoire ; en effet du premier au quatrième arrondissement les ventes ne reculent pas. Néanmoins c’est le bénéfice qui reste limité ; en effet les prix sont très élevés et n’augmentent que très peu au fil du temps, ce qui limite les possibilités d’investissement. Cependant ces quartiers restent dynamiques, les petites surfaces partent vite et au bon prix ; cependant lorsque l’on s’attaque à des biens de plus grande envergure, les ventes sont plus compliquées.
Autour du centre, du 5ème au 7ème arrondissement les offres se font plus nombreuses et les ventes suivent cette tendance. Les acheteurs sont plus déterminés et négocient au moins pour des biens avec des caractéristiques exceptionnelles ou plus simplement une vue dégagée et lumineuse. Par exemple, rue Monge un deux pièces de 24 m² a été vendu 345 000 euros. Le 6ème arrondissement est le quartier le plus cher de la capitale ; il séduit beaucoup par ses biens haut-de-gamme. Aussi, le 7ème arrondissement, s’adresse davantage à un public jeune, notamment à des familles. Il n’y a d’ailleurs pas assez d’offres par rapport à la demande.
Les arrondissements du 13ème au 15ème connaissent une plus grande difficulté concernant les ventes. Il n’y a toujours pas de difficulté à céder les petites surfaces, cependant concernant des biens plus vastes, ceux-ci vont mettre plus de temps à être vendus et sont l’objet de plus de négociations. La crise du coronavirus a atteint ces quartiers. Par exemple, les biens dans le 13ème arrondissement voient leur prix baisser. Au neuvième étage d’une tour, un deux-pièces de 36 m² a par exemple été cédé pour 330 000 euros, un prix assez bas pour la région parisienne.
Les arrondissements du 9ème au 12ème, subissent un phénomène différent. La croissance des prix se stabilise, l’intérêt est toujours présent mais les acheteurs sont plus exigeants. La crise du coronavirus a développé une envie de trouver un bien sans défaut, et certains prennent plus de temps avant de sauter le pas de l’achat. La négociation est de plus en plus fréquente par rapport aux années précédentes. Ainsi, dans ces quartiers, bien qu’elles soient fréquentes, les ventes prennent plus de temps.
Ce phénomène est également représenté dans les quartiers du 8ème, du 16ème et du 17ème arrondissement. En effet, le marché est complexe, et est ralenti par l’absence de la clientèle étrangère. Cependant, les fortunes françaises arrivent tout de même à soutenir le marché de l’immobilier dans ces arrondissements. Néanmoins, les ventes se font plus lentes, car ici aussi, les acheteurs prennent plus de temps pour trouver la perle rare.
Enfin, du 18ème au 20ème arrondissement, les biens dont le prix est trop élevé par rapport à l’état du marché ne se vendent pas. Il y a un souci d’équilibrage entre le marché actuel et les demandes des vendeurs, qui provoque une stagnation des prix mais également des ventes.
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