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- Baromètre : 1 an après la crise, où en est le marché immobilier ?
Publié le 19/03/2021
Baromètre : 1 an après la crise, où en est le marché immobilier ?
WIKIMMO
Un an après le début de la crise sanitaire provoquée par la Covid19, le marché immobilier a été durement marqué par cette phase ; cependant, il a su résister notamment concernant le volume de transactions réalisées en 2020. Le marché immobilier de 2020 a su se démarquer malgré la crise par plus d’un million de ventes.
La résistance des volumes de vente …
La crise sanitaire débute en mars 2020, avec des mesures drastiques pour le secteur de l'immobilier, contraignant les agents à modifier dans l’ensemble leurs méthodes de travail. Pendant deux mois, le secteur est au ralenti du fait de la fermeture des agences, de l'empêchement de réaliser des visites ou encore de l'immobilisme face à l’interdiction de signer des promesses de ventes. Ainsi, l’activité marche au ralenti en France à cette période ; cela se concrétise par la chute de 75% du nombre de promesses de vente en 2020. Cependant, loin de se laisser abattre par la crise sanitaire, le secteur immobilier a su se relever grâce à un rebond technique permettant par exemple des visites 3D. De fait, le marché est rapidement reparti en hausse avec plus de +370% de promesses de vente signées vers mi-mai 2020. Thomas Lefebvre, Directeur scientifique de Meilleurs agents, indique même “Au cours des derniers mois, le marché de l’immobilier a fait preuve de résilience et d’adaptation.”
Le second confinement en novembre aurait pu être une nouvelle phase de peur pour le marché de l’immobilier due à l’angoisse d’une nouvelle adaptation du secteur. Or, le secteur n’a été que très peu impacté du fait d’une adaptation précoce du secteur et d’une forte volonté des particuliers à changer leur quotidien au sein d’un contexte sanitaire particulier. La forte adaptabilité du secteur a permis le développement des instruments numériques afin de répondre aux besoins des particuliers, comme les visites virtuelles ou encore la signature électronique permettant la concrétisation des négociations.
… implique des changements du côté des prix …
De manière générale, les prix du secteur immobilier ont quelque peu augmenté à l’échelle nationale depuis mars 2020. Il y a depuis le début de la crise sanitaire une augmentation d’environ 2%, notamment à la sortie du premier confinement comme à Paris ; pourtant selon Meilleurs Agents, la tendance est à la stabilisation des prix de l’immobilier. L’immobilier connaît même depuis septembre un ralentissement. Paris a, par exemple, vu un recul de ses prix de 2,5%. Cependant, cela n’implique pas pour autant un retournement de marché ; c’est uniquement une conséquence de la crise sanitaire qui implique l’adaptabilité du secteur.
… qui conduit à un bouleversement de la demande
Les changements du côté des prix impliquent un bouleversement évident de la demande. En effet, durant les six derniers mois, en France, la demande est moins présente pour l’achat d’une propriété. Or, au début du premier confinement, le marché était à la hausse du fait des nombreuses demandes de la part des acheteurs. Thomas Lefebvre, Directeur scientifique de Meilleurs agents, indique une des causes de la baisse de la demande “Plusieurs facteurs expliquent cette fragilisation de la demande. D’une part, on retiendra la défiance des ménages face à l’incertitude des prochains mois”. Il existe ainsi aujourd’hui un rééquilibrage entre les acheteurs et les vendeurs, qui tente de réguler le secteur de l’immobilier au sein d’un contexte sanitaire provoquant une tension immobilière.
Ainsi, à l’approche du printemps, où le secteur de l’immobilier est plus dynamique que pendant le reste de l’année, le marché s’annonce dès lors quelque peu réduit. Cependant, l’activité doit se maintenir de manière à se réguler progressivement, se maintenant à un niveau élevé du fait des taux de crédit encore assez bas et une épargne des ménages en hausse en 2020.
Un ralentissement de la demande
Ces derniers mois, on observe une stabilisation des prix par rapport à l’essor de ceux-ci au début du confinement. De fait, en mars 2020, le marché de l’immobilier était en tension face aux recherches de biens dues à l’annonce de confinement. Le nombre d’acquéreurs était bien plus élevé que le nombre de vendeurs ; on peut évaluer cela grâce à l’Indice de Tension Immobilière (ITI) de Meilleurs Agents. Cet indicateur montrait que le nombre d’acheteurs était supérieur de 30% à Lille par rapport au nombre de vendeurs.D’autres villes ont un ITI important, les acquéreurs dépassent de 20% les vendeurs dans des villes comme Rennes, Toulouse ou Paris. Enfin, certaines villes ont observé une tension immobilière plus légère mais tout de même notable comme Bordeaux et Marseille qui enregistrent 10% d’acheteurs en plus par rapport aux vendeurs.
Cette différence entre la clientèle et les vendeurs a relancé des projets immobiliers ; l’activité a explosé en mai, à mesure que les prix augmentaient, le nombre de biens disponibles à la vente diminuait. Paris observe un rééquilibrage entre le nombre de vendeurs et d’acheteurs.
Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleurs Agents souligne que de nombreuses raisons expliquent la récession de la demande. Il en distingue trois, la peur face à l’instabilité liée à la crise, la fin du télétravail en alternance et l’avenir incertain.
Pour consulter l’intégralité de l’article, cliquez ici.
Paris Ouest Sotheby's International Realty, expert de l'immobilier de luxe et de prestige à Paris
La résistance des volumes de vente …
La crise sanitaire débute en mars 2020, avec des mesures drastiques pour le secteur de l'immobilier, contraignant les agents à modifier dans l’ensemble leurs méthodes de travail. Pendant deux mois, le secteur est au ralenti du fait de la fermeture des agences, de l'empêchement de réaliser des visites ou encore de l'immobilisme face à l’interdiction de signer des promesses de ventes. Ainsi, l’activité marche au ralenti en France à cette période ; cela se concrétise par la chute de 75% du nombre de promesses de vente en 2020. Cependant, loin de se laisser abattre par la crise sanitaire, le secteur immobilier a su se relever grâce à un rebond technique permettant par exemple des visites 3D. De fait, le marché est rapidement reparti en hausse avec plus de +370% de promesses de vente signées vers mi-mai 2020. Thomas Lefebvre, Directeur scientifique de Meilleurs agents, indique même “Au cours des derniers mois, le marché de l’immobilier a fait preuve de résilience et d’adaptation.”
Le second confinement en novembre aurait pu être une nouvelle phase de peur pour le marché de l’immobilier due à l’angoisse d’une nouvelle adaptation du secteur. Or, le secteur n’a été que très peu impacté du fait d’une adaptation précoce du secteur et d’une forte volonté des particuliers à changer leur quotidien au sein d’un contexte sanitaire particulier. La forte adaptabilité du secteur a permis le développement des instruments numériques afin de répondre aux besoins des particuliers, comme les visites virtuelles ou encore la signature électronique permettant la concrétisation des négociations.
… implique des changements du côté des prix …
De manière générale, les prix du secteur immobilier ont quelque peu augmenté à l’échelle nationale depuis mars 2020. Il y a depuis le début de la crise sanitaire une augmentation d’environ 2%, notamment à la sortie du premier confinement comme à Paris ; pourtant selon Meilleurs Agents, la tendance est à la stabilisation des prix de l’immobilier. L’immobilier connaît même depuis septembre un ralentissement. Paris a, par exemple, vu un recul de ses prix de 2,5%. Cependant, cela n’implique pas pour autant un retournement de marché ; c’est uniquement une conséquence de la crise sanitaire qui implique l’adaptabilité du secteur.
… qui conduit à un bouleversement de la demande
Les changements du côté des prix impliquent un bouleversement évident de la demande. En effet, durant les six derniers mois, en France, la demande est moins présente pour l’achat d’une propriété. Or, au début du premier confinement, le marché était à la hausse du fait des nombreuses demandes de la part des acheteurs. Thomas Lefebvre, Directeur scientifique de Meilleurs agents, indique une des causes de la baisse de la demande “Plusieurs facteurs expliquent cette fragilisation de la demande. D’une part, on retiendra la défiance des ménages face à l’incertitude des prochains mois”. Il existe ainsi aujourd’hui un rééquilibrage entre les acheteurs et les vendeurs, qui tente de réguler le secteur de l’immobilier au sein d’un contexte sanitaire provoquant une tension immobilière.
Ainsi, à l’approche du printemps, où le secteur de l’immobilier est plus dynamique que pendant le reste de l’année, le marché s’annonce dès lors quelque peu réduit. Cependant, l’activité doit se maintenir de manière à se réguler progressivement, se maintenant à un niveau élevé du fait des taux de crédit encore assez bas et une épargne des ménages en hausse en 2020.
Un ralentissement de la demande
Ces derniers mois, on observe une stabilisation des prix par rapport à l’essor de ceux-ci au début du confinement. De fait, en mars 2020, le marché de l’immobilier était en tension face aux recherches de biens dues à l’annonce de confinement. Le nombre d’acquéreurs était bien plus élevé que le nombre de vendeurs ; on peut évaluer cela grâce à l’Indice de Tension Immobilière (ITI) de Meilleurs Agents. Cet indicateur montrait que le nombre d’acheteurs était supérieur de 30% à Lille par rapport au nombre de vendeurs.D’autres villes ont un ITI important, les acquéreurs dépassent de 20% les vendeurs dans des villes comme Rennes, Toulouse ou Paris. Enfin, certaines villes ont observé une tension immobilière plus légère mais tout de même notable comme Bordeaux et Marseille qui enregistrent 10% d’acheteurs en plus par rapport aux vendeurs.
Cette différence entre la clientèle et les vendeurs a relancé des projets immobiliers ; l’activité a explosé en mai, à mesure que les prix augmentaient, le nombre de biens disponibles à la vente diminuait. Paris observe un rééquilibrage entre le nombre de vendeurs et d’acheteurs.
Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleurs Agents souligne que de nombreuses raisons expliquent la récession de la demande. Il en distingue trois, la peur face à l’instabilité liée à la crise, la fin du télétravail en alternance et l’avenir incertain.
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Paris Ouest Sotheby's International Realty, expert de l'immobilier de luxe et de prestige à Paris
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